Festival Itinérant du Film Caribéen à la Médiathèque Caraïbe

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Samedi 12 mars 2011 – 10 h20 anos / Barbara J. Ortiz – Animation – 15‘ CUBA
Une femme qui se cramponne à un passé heureux, tan-bdis que son présent est bien différent. 20 ans d’indifférence et de maltraitance sont la preuve de l’amour debcette femme. Elle fait l’impossible pour attirer l’attention de son mari.
Los Hijos de Benkos / Lucas Silva – Documentaire –52‘ COLOMBIE. Ce documentaire est dédié à la culture africaine en Colombie, vue et racontée à travers la musique. Les rythmes traditionnels nous renvoient au passé, aux ancêtres, à l’Afrique.La musique jouée par labjeune génération nous ramène au présent, dans un pays «pluriethnique et multiculturel » riche en traditions.
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Jeune Public Mercredi 16 mars 2011 – 15 h A fairy tale / Rogelio Paris – Fiction – 5‘ CUBA
Il s’agit de la modification climatique et ses conséquences dramatiques, qui menacent de faire disparaitre l’espèce humaine. « Un conte de fées » souligne que, injustement, les victimes les plus affectées sont les enfants, les nouveau‐nés,bet ceux qui ne sont pas encore nés.
Anancy and the common sense / Andrew Devies – Animation – 4‘ JAMAIQUE. Une aventure d’Anancy l’araignée ou comment il est impossible de conserver la sagesse du monde dans une courge.
Mario el nino de la tambora – Fiction – 19 COLOMBIE. Ce court métrage raconte l’histoire d’un enfant qui veutbmaîtriser la Tambora pour impressionner une de ses cabmarades de classe. Cette œuvre a été faite par des enfantsde Nariño, Colombie. Comfenalco et le Festival de Cinéma de Cartagena l’ont produit.
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Mercredi 16 mars 2011 – 15 hA fairy tale / Rogelio Paris – Fiction – 5‘ CUBA
Il s’agit de la modification climatique et ses conséquencesvdramatiques, qui menacent de faire disparaitre l’espèce humaine. « Un conte de fées » souligne que, injustement, les victimes les plus affectées sont les enfants, les nouveau‐nés, et ceux qui ne sont pas encore nés.
Anancy and the common sense / Andrew Devies – Animation – 4‘ JAMAIQUE. Une aventure d’Anancy l’araignée ou comment il est impossible de conserver la sagesse du monde dans une courge.
Mario el nino de la tambora – Fiction – 19’ COLOMBIE Ce court métrage raconte l’histoire d’un enfant qui veut maîtriser la Tambora pour impressionner une de ses camarades de classe. Cette œuvre a été faite par des enfants de Nariño, Colombie. Comfenalco et le Festival de Cinéma de Cartagena l’ont produit.
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Samedi 19 mars 2011 – 10 h. Machera / Charles Martinez – Documentaire – 90’ VENEZUELA Machera, le Robin des Bois de Mérida. Ce documentaire, qui a des éléments de fiction, explore le mythebentourant Luis Enrique Cerrada Molina (1956-1977), le mort miraculeux le plus populaire de la ville andine.De son vivant, il a été un voleur fameux pour son habitude à partager le butin de ses vols entre les quartiers les plus pauvres de la ville.
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Mercredi 23 mars 2011 – 15 h ( Jeune public). Cecilia Valdès / Tony Nodarse – Animation – 3‘ CUBA
L’histoire d’une mulâtre cubaine qui danse et chante sonbamour à la Havane coloniale. Bolivar, canto el libertador / Nora Marcano – Animation –11‘ VENEZUELA Une statue de Simon Bolivar qui resplendit dans une région andine, parle à un oiseau qui s’est perdu; il nous rappelle tout ce qu’on a oublié de l’Amérique Latine.
Anba Fey / Dominique Duport – Fiction – 19‘ GUADELOUPE
Ce court-métrage de fiction très imaginatif met l’hommebface à ses propres peurs. L’homme peut endommager la nature mais… et vice versa ?
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Mercredi 23 mars 2011 – 15 h
Cecilia Valdès / Tony Nodarse – Animation – 3‘ CUBA L’histoire d’une mulâtre cubaine qui danse et chante son amour à la Havane coloniale.
Bolivar, canto el libertador / Nora Marcano – Animation –11‘ VENEZUELA. Une statue de Simon Bolivar qui resplendit dans une région andine, parle à un oiseau qui s’est perdu; il nousrappelle tout ce qu’on a oublié de l’Amérique Latine.
Anba Fey / Dominique Duport – Fiction – 19‘ GUADELOUPE. Ce court-métrage de fiction très imaginatif met l’homme face à ses propres peurs. L’homme peut endommager la nature mais… et vice versa ?
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Jeudi 24 mars 2011- 19 h
Ame noire / Martine Chartrand – Court métrage animation- 10‘ Le récit que transmet une vieille dame à son petit-fils fait défiler sous nos yeux une succession de tableaux peints directement sous la caméra. L'enfant marche dans les traces de ses ancêtres pharaons ; il entend, sous le baobab, le griot chanter les exploits des rois. Puis, à l'appel des percussions annonçant le commerce triangulaire de l'esclava-
ge, il vogue d'exil en exil, des Antilles aux neiges des Amériques. Il connaît les luttes pour la liberté et les contributions historiques des communautés noires. Dans ce tourbillon de lumière et de couleurs, la grand-mère lui lègue le grand rêve de Martin Luther King : un espoir que tous les êtres humains vivent la liberté, l'égalité dans la fraternité.
Fatra / Laurence Magloire –Documentaire – 28‘La responsabilité du peuple et du gouvernement concernant la mise en pratique de divers programmes d’assainissement de l'environnement dans ce pays-là, est de plus en plus importante. Haïti doit comprendre que les ordures peuvent se vendre aussi.
Rigwaz/ Richard Mirabal - Documentaire – 27‘ Le fouet (rigwaz en créole), était l’instrument utilisé pour punir les esclaves. Documentaire réalisé dans le but de célébrer le Bicentenaire de l’Independence d’Haïti. Ce Premier janvier 1804, le rigwaz a cessé d’avoir une connotation d’opprobre qui en faisait un symbole du système esclavagiste. Ces 27 minutes nous montrent une Haïti en chair et en os, sans maquillage, ses racines historiques et culturelles.Soirée Haïti

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Samedi 26 mars 2011 – 10 h
Anba fey / Dominique Duport – Fiction – 19‘ GUADELOUPE
Ce court-métrage de fiction très imaginatif met l’homme face à ses propres peurs. L’homme peut endommager la nature mais… et vice versa ?
Almendron mi corazon / Steve & Stéphanie James- Documentaire – 52‘ GUADELOUPE. Plus de soixante mille voitures américaines sillonnent quotidiennement les rues de La Havane et les petites routes de campagne. Cette éternelle jeunesse sur quatre roues est plus qu'une prouesse mécanique, c'est un miracle de l'amour, car dans le cœur de chaque cubain, il y a un "almendrón"... La grande histoire d'amour entre les Cubains et leurs belles américaines durera longtemps encore, car les voitures ne peuvent quitter l'île. Elles appartiennent au patrimoine de Cuba, comme des monuments historiques !… Leur lutte pour la survie et la dignité font écho à celle d'un peuple hors du commun. Elles sont l'emblème de Cuba et de son histoire.